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le jardin de la champine
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28 avril 2010

hérisson, le retour

ben voilà. On commençait à l'oublier. Nous étions fier l'année dernière d'avoir hébergé cette boule d'épine.

Mais depuis quelques mois, point de nouvelles: jusqu'à ce soir. Anne Marie l'a aperçu, dinant des croquettes que le chat aurait dû manger.

Bien. Très bien. Mais il va falloir qu'il se remette au boulot. Il y a des escargots qui l'attendent...

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Commentaires
C
Bonnes fêtes de pâques!<br /> <br /> bisous<br /> <br /> Casa
C
Joyeux noel<br /> <br /> Casa
H
"Mais qu'il est triste ce hérisson" chantait je sais plus qui, moi le mien était gai comme un pinson et insouciant au point de vouloir traverser la nationale hors des clous et sans regarder, alors je me suis arrêté et je l'ai mis dans la bagnole avant de le lâcher dans le potager. Un peu de paille pour la hutte, du fromage pour le quatr'heure et de l'eau pour éviter la déssication. Le lendemain il était toujours là mais l'air moins jouasse, il a même pas touché sa limace et son ver de terre, un peu seul peut être ou trop jeune pour quitter le nid.<br /> Puis plus rien pendant quelques jours. <br /> Et soudain le drame ! Alors que j'arrachais l'herbe entre les oignons, là sous mes yeux, les restes du hérisson ! Non, pas ceux de son repas mais son propre scalp putain... remords !<br /> Alors de deux choses l'une : où bien mon hérisson n'a pas fait le poids contre mes limaces, ce qui, ne riez pas, est du domaine du possible, ou bien il a croisé la route d'un prédateur plus féroce et plus affamé que lui. Quoiqu'il en soi, un bon conseil avant de choisir votre hérisson : prenez le bien armé et méchant comme une teigne.
le jardin de la champine
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